Les Êtres de Lumières

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De tous les élements communs figurant dans les

témoignages que j'ai  le plus difficlement croyable,

et en même temps celui qui produit sur l'impression

la plus intense, c'est la rencontre avec une lumière très

brillante. Détail typique : lors de sa première

manifestation,cette lumière est pâle, mais atteinds une

lumière surpraterrestre.  Et bien que cette lumière

( généralement qualifiée de " blanche " ou de " clair ") soit

d'un rayonnement indescriptible, beaucoup insiste sur le

faitequ'elle ne brûle pas les yeux, qu'elle n'éblouit  pas,

qu'elle n'empêche pas de de voir distinctement les

environnements ( peut-être parce que , dans ce moment,

les témoins ne sont pas physiquement d'otés d'yeux, ce

qui exclut l'éblouissement )

Malgré l'aspect de cette extraordinaire de cette apparition,

pas un seul d'entre mes sujet n'as exprimé le moindre

doute qu'ant au fait qu'il s'agissait d'un être, d'un être

de lumière. Et qu'il s'agissait d'un être de lumière.  Et

qui plus est, cet être est une Personne, il possède une

personnalité nettement définie. La chaleur et l'amour qui

émanent de ce être à l'adresse du mourant dépassent de

loin toute possibilité d'expression.L'homme se sent comme

envahi et transpersé par cet amour; il s'abandonne en

toute sérénité au beinveillant acceuil qui lui est fait. Un

attrait magnétique, irrésistible, émane de cette lumière,

verslaquelle il se sent inéluctiblement entraîné.

Remarque importante : alors que cette description de

l'être de lumière demeure exactement la même d'un

témoignage à l'autre, l'identitication de cet être être

varie simgulièrement et semble dépendre en grande partie

des antécédents, de l'éducation et des croyances

religieuses de chaque individu. Ainsi, la plupart de ceux

qui ont élévés dans la tradition  ou la foi chrétienne

identifient cette lumière au Christ; ils invoquent parfois,

pour étayer cet interprétation , des références bibliques.

 Un homme et une femme de religion israëlite voyaient

 cette entité un " Ange " . Bien entendu, dans ces deux

dernires cas, les sujets ne prétendaient aucunement que

l'être  en question possédât des ailes, et

jouât de la harpe, ni même qu'il présentât un aspect

humain. Il  n'était que lumière , pour eux, l'être jouait un

rôle d'émissaire ou de guide. Un homme qui n'avait pas

reçu ni croyances ni éducation religieuse avant de subir

cette expérience parlait tout simplement d'un " Être de

lumière." Cette même appellation  à également été utilisée

par une dame professant la foi chrétienne et qui,

apparemment, ne se sentait nullement porté à

considération  que cette lumière fut le Christ.

Peu de temps après cette apparition, l'entité entre en

communication avec le mourant. Il faut noter que cette

communication s'effectue directement, selon le procédé

déjà rencontré qui permet aux corps spirituelscde " capter

les pensées" de l'entourage; ici encore , les témoins

affirment qu'ils n'ont perçu aucun son , aucune voie

provenant de l'être lumineux, et qu'ils n'ont pas

davantages emis de sons audibles pour lui répondre. Ils

font allusin à un transfert direct de la pensée, sans

obstacle, et d'une netteté si absolue qu'aucune place n'est

laissée au risque d'erreur ou de mensonge.

De plus, ce dialogue sans entrave n'emprunte rien rien à la

langue maternelle du sujet; ce qui n'empèche nullement

celui-ci de tout comprendre et de recevoir une information

instentanée. Plus tard , lors de son retour à la vie, il se

révélera incapable de transposer en un langage  non

verbal. L'entité, tout de suite après s'être montré au

mourant de façon si spectaculaire, dirige vers lui  une

pensée que les interessés ont généralement tenté de me

présenter comme une question. Parmi les traductions

qui m'ont été soumises, je relève : " Est-tu préparé à la

mort? " Es-tu prêt à mourir? " ou : " Qu'a tu fait de ta vie

que tu puisse montrer?" et :" Qu'a tu tu fait de vie que tu

suffisant?" Les deux premières formules, qui mettent

l'accent sur une" préparation" semble comporter

une signification différente par rapport aux deux dernières,

qui insistent sur l'oeuvre accomplie. J'aurai plutôt

tendance à supposer que ces tentatives de traductions

 reviennent plus ou moins au même, ainsi qu'en témoigne

la version suivante due à une femme qui relate :

La première chose qu'Il m'a dite était qu'Il demandait

si j'étais prête à mourir , ou si j'avais accompli quelque

dans ma vie que j'aurais aimer lui montrer.

 

Mieux encore, alors même que la " question " se  trouve

tournée tout autrement, et sous forme moins

conventionnelle, on s'aperçoit qu'a la reflexion elle

conserve une intensité identique. Par exemple, un

homme m'a dit que, pendant qu'il était mort,

 

.... la voix m'a posé une question : " Est-ce que cela valait

la peine? " et ce qu'elle voulait dire consernait la vie

que j'ai menée jusqu'a ce terme, et le jugement que je

portais sur sa valeur, sachant désormais ce que je savais.

 

Tous, d'ailleurs, proclament que cette intorrogation,

pour définitive et fondamentale qu'elle puisse qu'elle

puisse apparaître  dans son impact émotionnel, ne

comporte pas la moindre nuance de condamnation.

 L'accord est total sur ce point : telle que l'entité la

profère, cette question n'implique ni accusation ni

menace; les sujets ne cessent de ressentir l'effluve

d'amour et d'accueil cordial qui émane de la lumière,

quelle que puisse être la réponse fournie. Le but de la

qquestion semble  être d'amener les mourants à réflechir

 sur leur existence passée, à en reessiner les grandes

lignes. C'est, si l'on veut, une interrogation de style

socratique, de celles qui n'appellent aucune réponse,

uniquement destinée à aider l'interrogé à s'avancer de

lui-même sur le chemin de la vérité.

Examions quelques témoignages de première ayant

 trait à cette entité fantastique :

1. J'ai entendu les médecins dire que j'étais mort et

c'est à ce moment-là que je me suis senti dégringroler, ou

plus exactement comme si je flottais dans cette

obscurité, qui étais comme un endroit clos. Je te ne trouve

pas de mots pour exprimer ça. Tout était très noir, sauf

que dans le lontain j'apercevais cette lumière. C'était une

lumière très, très brillante, mais pas très grande au début;

elle augmentais à mesure que je m'en approchais.

Je faisais des efforts pour rejoindre cette parce

que j'avais le sentiment que c'était le Christ, et je

vous arriver jusqu'a Lui. Il n'y avait rien là d'effrayant;

c'était même plutôt agréable. Parce que, comme chrétien,

j'avais naturellement établi une relation entre la lumière

 et le Christ qui avait dit : " je suis la lumière du monde."

Je me disais : " Si c'est vraiment la fin, si je dois mourir,

alors je sais quel est Celui qui m'attend, la-bàs, dans la

lumière."

2. Je me suis levée et je suis sortie dans le couloir

pour aller boire quelque chose, et à cet instant, on

l'a su trop tard, que je me suis fait une perforation de

l'appendice. Mes forces m'ont lâchée, et je suis tombée

sur le sol. Je me suis mise à dériver, je me sentais

comme si j'étais tantôt dans mon corps et tantôt en

dehors, et j'entendais une musique très belle. Je flottais

au long du couloir, et sépassant le seuil jusqu'au portique

dont les battants étaient fermés. Là se fut des nuages, ou

plutôt un brouillard rose, s'amassaient autour de moi; j'ai

continué à flotter zau travers des battants du portique,

comme s'ils n'avaient pas existé, et de là vers cette

lumière de pur cristal, une lumière blanche qui rayonnait;

une lumière très belle, très brillante, irradiante. Mais elle

ne faisait pas mal aux yeux. On ne peux pas comparer

cette lumière à rien de ce qui existe sur la terre. Je ne

peux pas dire que j'ai vu une personne dans cette lumière,

mais il m'a paru certain qu'elle possède une identité, c'est

indédiable. Imaginez une lumière de totale

compréhension et de parfait amour.

Une pensée à été dirigée vers moi: " M'aime-tu?"

Ceal ne m'est pas venue sous la forme d'une question,

mais je crois bien que ce que laz lumière voudrais me dire

était ceci : " Si tu m'aimes, retourne sur tes pas, achève

ce que tu à commencé." Et pendant ce temps, je me

sentais tout enveloppée de compassion, et comme écrasée

d'amour....

3.Je savais que j'allais mourir et que je n'y pouvais plus

rie, parce que personne ne pouvait plus m'entendre ...

J'étais sorti de mon corps, j'en suis sûr puisque je voyais

ce  corps étendu étendu, là, sur la table d'opération. Mon

âme l'avait quitté! J'ai été d'abord très boulversé, mais 

c'est alors qu'est intervenue cette lumière brillante. au

début, elle m'a paru un peu pâle, mais tout à coup il y a

eu ce rayon intense.vla luminosité étais très prodigieuse,

rien  à voir avec un éclair d'orage, une lumière

  insutenable, voilà tout. Et cela dégageait une chaleur, je

me suis senti au chaud.

C'était d'un blanc étincelant, tirant un peu sur le jaune_

mais surtout blanc. Cela brillait formidablement, je n'arrive

pas bien à le décrire. Cela éclarait tout alentour, mais

mais cela ne m'empêchais pas de voir tout le reste, la

salle d'opération le docteur et les infirmiers, tout. J'y

voyais très distintement, sans être aveuglé.

Au commencement, quand la lumière est arrivée, je me

rendais pas tr_ès bien compte de ce qui ce passait;

mais après , la lumière m'a demandé_ enfin ,

c'étasconstater que je n'était pas du tout prèt à mourir.

Elle voulait simplement me mettre à l'épreuvele sens de l'hum, sans plus.

Et cepepar dessndant, à partir du momeont où elle a

commencé àme parler, je me suis senti délicieusement

bien, protégé,et aimé. L'amour qui émanait de la lumière

 paest inimaginable, indescriptible. Et par-dessus le

marché, elle dégageait de la gaieté! Elle avait  le sens de

l'humour , je vous assure.